Cette gestion de crise a été, est et restera, dans l’histoire, un crime contre notre humanité ! Mais, elle nous permet aussi de prendre conscience d’où nous en sommes arrivés ! Rappelons nous, il fût un temps :
où la génération de profits pouvait rejaillir sur le plus grand nombre. Ce n’est plus le cas maintenant, seule une frange très restreinte (milliardaires) pompe l’accroissement des richesses,
où les administrations, l’état et les politiques étaient au service des usagers, de la nation. Cela a bien disparu, de nos jours, car les egos méprisants des élites et le rouleau compresseur technocratique asservissent les individus,
où les avancées technologiques étaient accueillies ou refusées par la population et concourraient au mieux être dans les foyers. Aujourd’hui, les multinationales imposent le rythme et la voie technologique en fonction de leurs intérêts et de la vision transhumaniste de quelques esprits en crise de délires,
où les médecines utilisaient toutes les options naturelles et évaluées pour aider le corps humain à combattre les problèmes de santé. Depuis quelques décennies, les laboratoires chimiques et transgénétiques dictent leur loi aux états et organisations internationales et s’occupent de la formation des professionnels de la santé, à leurs profits,
où le système de production alimentaire servait encore à nourrir les populations, avec des cultures locales, saisonnières, naturelles, à taille humaine. Telle n’est plus la situation, car sont subventionnés ce qui rapportent en bourse, dans des exploitations gigantesques : fermes usines, surmécanisées, surconfinées, surmédicalisées (antibios, vaccins, …) et certains aliments, avant d’arriver dans votre assiette, auront plus voyagé que nombre d’entre nous. Il est à noter que le confinement de ces derniers mois, que nos politiques et experts nous ont appliqué, est très proche de celui employé dans l’élevage intensif,
où la valeur d’un être humain venait de la qualité de son travail, du respect de la parole donnée, et de la connaissance du prix des choses. Avec la mondialisation, tout a été organisé pour être marchandable et au plus bas prix. Ce qui compte étant de faire du bénéfice au mépris de toute autre considération,
où les rapports humains pouvaient trouver des espaces d’expression au sein des familles, des entreprises à taille humaine, des traditions et cultures locales. On se parlait, on se côtoyait, on partageait, on transmettait d’une génération à l’autre. On était en et au contact, participant à cette société humaine, vivante, vivace et multiple. La standardisation et l’uniformisation, afin d’intégrer une matrice unique et contrôlée a conduit, ces derniers mois, aux gestes barrières, masques, gants, à la peur de l’autre comme vecteur de différences, d’intégrisme, de radicalité, de viralité, pour se réfugier dans un individualisme virtuelisant.
Cette gestion de crise a été, est et restera, dans l’histoire, un crime contre notre humanité ! Mais, ce pourquoi les individualités se sont regroupées : être plus forts, mieux protégés, avoir des conditions de vie plus faciles, être plus résilients, s’est transformé en l’inverse du but originel. Les sociétés ont été financièrement et politiquement accaparées par les intérêts internationaux privés qui voulaient rentabiliser tout ce qui existe pour produire toujours plus de profits et bénéfices. Naguère, ne disait-on pas dans la pensée populaire : « c’est l’argent, le pouvoir et le sexe qui mènent le monde ». Le pouvoir et l’argent se sont donc unis pour créer la « puissance de la richesse » qui, aujourd’hui, tue la vie, méprise les peuples et leurs aspirations et qui bientôt, va s’écrouler dans ses propres déjections nauséabondes. Car, oui, la roue de l’évolution tourne et nous vivons dans un univers en constante transformation. Ainsi, les détournements, malversations, mensonges, perversions, crimes et délits (non pas au sens de la loi humaine, mais de celle de la vie), …, en un mot tout ce qui est caché, malsain, injuste et contraire au bien commun et au respect de la vie et de chacun, va peu à peu refaire surface et être mis en lumière. Les masques vont donc tomber en sens propre comme au figuré pour que ceux qui, involutifs, ont transgressé les lois de l’univers, soient remis sur le chemin de l’évolution ou puissent recevoir ce qu’ils ont généré, par juste retour des choses (dans cette incarnation ci ou bien ailleurs dans une autre). Mais ne crions pas victoire, car ce que vit l’humanité en ce moment : restrictions, isolement, appauvrissement, déshumanisation, elle l’a voulu et a accepté de le vivre plus ou moins inconsciemment, car elle a laissé faire ceux qui l’ont muselé ! Oui, je persiste à dire cela, car nombre de lanceurs d’alertes ont depuis tant d’années, essayé, tenté de faire comprendre aux endormi(e)s que la situation « tournait au vinaigre ! » et que nous allions dans le mur. Nous ne serons d’ailleurs pas la première civilisation à s’éteindre, à se ramasser, à convulser avant de disparaître. A moins que se réveillent les peuples pour réclamer leur vie, leur bonheur, leur avenir. La vision technocratico-repressivo-sanitaire, qu’ils nous imposent, n’a pas d’avenir viable sauf dans un modèle virtuel qui ne nous appartiendra plus. Vous serez la propriété de leurs envies et délires, troupeau d’humanoïdes augmentés, aux ordres et « en marche ». Alors, allez vous continuer à dire « amen » à ces pervers manipulateurs, ou bien, allez vous oser vivre pleinement votre destinée ? Involution ou évolution ?
Cette gestion de crise a été, est et restera, dans l’histoire, un crime contre notre humanité !
Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui là !
Antoine chevalier, citoyen quantique
Merci, majestueux texte.
Juste que en se réveillant le peuple ne Réclame pas, mais manifeste en toute souveraineté sa vie, son bonheur, son avenir !!!
troupeaux « augmentés » en guillemets !!!
Belle lecture !!!
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