De la servitude volontaire à la souveraineté individuelle

Lors d’interviews de consommateurs par des journalistes, on nous présente souvent des personnes résignées, fatalistes (« on n’a pas le choix, il faut payer »). Tout en reconnaissant parfois que l’état s’engraisse avec les taxes. Ainsi, on diffuse et on entretient, médiatiquement, cette attitude du citoyen qui endosse une « servitude volontaire » (déjà énoncée par La Boétie au 16ème siècle). Et c’est bien utile à ceux qui nous dirigent car, ainsi, « le bon peuple » est conditionné à accepter toujours plus les privations, humiliations, restrictions et spoliations, paupérisation de ses droits et libertés. Ils y trouvent, en plus, une forme de légitimité, puisque les peuples suivent toutes ces mesures décidées et votées, contre eux ! En y mêlant astucieusement une dose grandissante d’anxiogénicité (insécurité, crises, pandémies, réchauffement climatique, …), les peurs instrumentalisées finissent le formatage des individus devenus « homo-consommatus » dociles et peureux. Dans ce fonctionnement en mode « survie », nos pleines capacités sont mises en sommeil. Nous sommes, alors, encore plus soumis à leurs décisions volontairement punitives. C’est pourquoi tant de personnes ont suivi, sans se poser de questions, toutes les mesures les plus iniques (confinement, port d’un masque, piquouzage, …).

Alors, si cette répétition générale a pu permettre de jauger le taux de résignation de la population, elle a aussi réveillé, alerté et indisposé une certaine part de la société. Celle-ci a réalisé que ce n’était pas normal, acceptable et respectueux. Bien plus encore, le bon sens, le sens critique, le discernement, se sont activés et remis en état d’éveil permanent. Nombre d’individus ont ressenti que l’existence qui vibrait en eux, n’était pas ce scénario sordide fait de décisions incohérentes, stupides. La vision des dirigeants pour leur peuple est apparue méprisante, dégradante. Il y eut donc une mobilisation certaine. Et une « nouvelle conscience » a émergé. Celle que nous sommes bien plus que ce que l’on nous en dit. Que la vie peut être plus riche et libre que ce qu’on nous permet ! Alors, il revient à chaque être « réveillé » de s’inscrire profondément dans sa propre responsabilité. Celle d’assumer ses décisions pour son existence et dans tous les domaines. En un mot exercer, à nouveau, sa souveraineté individuelle, face à ces pouvoirs extérieurs malsains. En sachant que les mêmes causes produisent les mêmes effets, ceux qui continuent d’accepter les mesures délétères cautionnent donc leur propre soumission volontaire. Suivre alors des décisions nuisibles devient même pathologique ou pervers, pour soi. Laisser l’autre continuer de décider à ma place remet en question ma légitimité à incarner ce que « je suis ». Alors, je me fonds dans une individualisation standard et programmable à souhait. J’exécute et sers mes maîtres qui savent pour moi, en espérant quelques miettes. Tant d’évolution humaine pour en arriver là ?!? Mais chut ! Laissons dormir ceux qui n’aspire plus à porter leur destinée personnelle et qui ont encore besoin d’expérimenter la matrice mondialiste. Pour tous les autres, le moment est venu. Un nouveau monde est a ensemencer, nourrir et créer sur cette planète. Il vibre déjà, au plus profond de chacun ! Et c’est dans sa propre souveraineté retrouvée que l’humanité pourra, à nouveau, évoluer vers un avenir plus radieux.

antoine chevalier, citoyen quantique éveillé

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