Pour bien appréhender ce titre, il convient de poser un certain nombre de postulats. L’être humain vit dans un univers infini de création et d’évolution qui le dépasse. La plupart du temps il n’en a même pas la perception. Dans cette immensité, chaque particule est interconnectée et interagissante. Les lois quantiques nous éveillent un peu sur ces principes de fonctionnement. De plus, tout ce qui existe possède une information qui lui est propre et qu’elle émet sous différentes formes (ondes, lumière, vibrations, …). Ainsi pour entrer en lien ou connexion avec une fréquence, vous devez avoir la même vibration en vous. Comme pour le poste de radio, vous réglez celui-ci en réception sur la gamme d’ondes de la station à écouter.
Lorsque que vous vivez une situation déplaisante, la réaction la plus basique est de refuser celle-ci au nom de : je ne comprends pas pourquoi cela m’arrive, je n’ai pas demandé à vivre cela, c’est la faute de …, . Or, si j’essaie de tenir compte de ce qui a été énoncé plus haut, je peux prendre conscience que cela m’arrive pour me faire évoluer. Si un événement particulier se présente dans mon espace, c’est que je suis en lien avec. La nature de cette relation peut être multiple (karma, expérimentation, répétition, chute, nouveauté, …). Mais quoi qu’il en soit, c’est toujours en rapport avec ce que j’émane. Se rendre compte de notre façon d’être, notre implication, évite de se tromper de responsable. Ensuite, il est possible, sans forcément être dans la réactivité, d’accueillir ce que l’univers me propose d’expérimenter. Même si ceci me fait sortir de ma zone de confort. Je choisis ainsi de rentrer le moins possible dans des histoires émotionnelles, de culpabilité, de déni ou refus. Alors, dans une douce neutralité d’une conscience plus apaisée, je commence à lâcher ce qui m’a amener à être sollicité.
D’un point de vue plus général, le principe de dualité, qui régit toutes nos existences, est toujours présent et actif. Parce que le plus grand nombre d’humains a encore besoin de fonctionner avec pour avancer. Il aide à définir vers quoi je peux aller et quelle façon d’exister est la plus bénéfique pour moi. Et cela grâce au mécanisme de comparaison, de jugement « bien/mal » et à son vécu en terme de souffrance ou apaisement. Si je me définis en dehors du fonctionnement duel, je m’en extirpe et commence à interagir autrement, mais sans besoin de souffrir pour changer, sans subir. Alors, chaque situation sera plus facile à intégrer dans un processus continu d’évolution vers la version la meilleure de mes potentialités infinies, et dans une vision universelle et interconnectée.
Antoine chevalier
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