Depuis plus d’un an, un système s’est mis en place. Celui-ci égrène chaque jour son lot de nouvelles anxiogènes : nombre de morts, d’hospitalisations en réa, de malades, de cas positifs, de tests PCR, … , sa multitude de décisions arbitraires et souvent contradictoires, et sa logique bien rodée de focalisation de toute notre attention sur cette épidémie. Plus rien d’autre ne semble avoir d’importance ! Mais un décès du covid est il équivalent à un cas positif dans la gestion de cette épidémie ? Sinon de maintenir la pression sur l’opinion. De plus, chaque mesure technocratique est toujours plus complexe à mettre en oeuvre, signe évident d’échec. Cela rend la vie des personnes, vous et moi, de plus en plus difficile au quotidien, sans permettre de prise de recul nécessaire, ni de se projeter. Et c’est bien là le but poursuivi ! Garder la population la « tête dans le guidon », en pleine sidération, sous pression angoissante permanente. Seulement, au delà des faits, des chiffres, des mesures et du message, il y a une réalité, une politique menée et un objectif à atteindre : le contrôle du vivant ! Je m’explique. En fait, cela a déjà commencé il y a quelques décennies avec la production agro-alimentaire. L’industrie pétrochimique soutenue par la grande finance, à l’aide de consortiums multinationaux, a commencé cette main mise sur le vivant. Les « OGM » en sont un exemple flagrant. On modifie une semence pour qu’elle produise en permanence son propre insecticide ou résiste aux intrants chimiques de l’industrie, et aussi, qu’elle ne puisse plus se reproduire naturellement d’une année sur l’autre. Ceci rendant le consommateur captif des semenciers et des industriels. On dépose donc des brevets sur ces produits qui n’appartiennent plus à l’humanité mais aux firmes technologiques. Dans cette folie de contrôle et de rentabilisation, tout à peu près dans la nature a été utilisé et commercialisé sous marques déposées. La notion de « bien commun », de « ressources naturelles » dont chacun pourraient bénéficier gratuitement est devenu caduque ! Tout se vend, tout se paie et tout doit appartenir à quelqu’un ou à quelque chose ! Vaste fumisterie égotique des pouvoirs et idéologies financiers, car nous sommes que de passage sur cette planète qui existait avant nous et nous survivra ! Quelle outrecuidance de « l’homo fricus » ! L’être humain, seule espèce à travailler, est déjà bien rentabilisée puisque nous travaillons pour survivre et non plus vivons de notre travail. A chaque gouvernement son lot de nouvelles taxes, contraintes et restrictions ! Mais il restait un domaine qui était un peu en retard, ou sans doute pas assez compétitif, rentable, c’était la santé humaine. Le business des maladies pouvait mieux faire, et à l’occasion de cette crise sanitaire, a comblé son retard avec cette thérapie génique. Et ce n’est pas les nouveaux milliardaires sanitaires, aidés par les gouvernements et les médias, qui vont s’en plaindre ! Initialement, cette thérapie génique était développée, destinée à corriger une mutation d’un ou plusieurs gènes rendant une personne malade. Hors, dans la logique rentabiliste du vivant, il restait à trouver un moyen de la démocratiser à tous : plus de 7 milliards de corps humains ! Et c’est là que ce fameux virus apparaît ! Oh merci Dieu de la technologie sanitaire et des lobbies pharmaceutiques ! Nous voilà prêts à utiliser la population pour expérimenter, à grande échelle, sur des bien-portants, cette thérapie nouvelle réservée hier aux malades. Et ceci à moindre coût : les gouvernements payant et incitant voire obligeant leur population !
Alors, il me vient une question : dans le cas des semences génétiquement modifiées, elles sont devenues, sous brevets, la propriété d’industriels. Qu’en sera-t’il de nous ? A force de se faire piquouzer, tous les ans ou les semestres, allons nous devenir la propriété de Pfizer ou de Moderna, ou autres et devenir aussi stériles ? A moins qu’il soit plutôt prévu une sorte de QRcode ou un traçage 6 ou 7G, à venir … . Le séquençage ADN peut ouvrir la porte à toutes les manipulations et déviances pseudo-scientifiques les plus perverses, avec une technologie sanitaire portée par la technocratie répressive. Un être humain augmenté artificiellement mais rendu esclave dans chaque acte de sa vie quotidienne ! Un peu comme pour les poussins mâles des élevages qui partent au broyage, les génomes qui ne répondront pas à la norme définie arbitrairement seront reconfigurés ou … . Le passe sanitaire est un de ces premiers pas vers ce monde « Orwellien » et macabre aux mains des plus riches délirants. Tout ce qui est à l’extérieur est déjà presque sous contrôle (tous connectés, merci Pegasus !). Il ne restait plus que l’intérieur de l’humain, son corps. Cela sera bientôt chose faite !
Antoine Chevalier, citoyen quantique
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