La grande imposture intellectuelle !

Ce titre résume bien, de mon point de vue, ce qui s’est passé ces deux dernières années. En fait, nous avons connu des escroqueries multiples.

La première fut quand le président a annoncé que « nous sommes en guerre ». Si nous réfléchissons à cela, lutter contre un virus, c’est plus globalement combattre le vivant. Oui, car l’environnement qui nous entoure, dans lequel nous baignons, fourmille de millions de microbes en tous genres. Mais dans la vision « chimique » de la santé, il faut tuer, éradiquer : « anti-bio » ! Hors, on sait déjà qu’en luttant contre le vivant, on finit toujours par s’affaiblir, étant nous même vivants. De plus, cela crée des mutations et résistances. Car la vie est par essence « intelligente dans sa capacité d’adaptation et d’évolution » ! L’écosystème existant comprend, qu’on le veuille ou non, les microbes, et, chaque forme de vie a son utilité. Notre microbiote, sur notre peau, dans notre alimentation, …, tous ces petits organismes sont souvent très utiles à « l’homo consommatus » !

La seconde est d’avoir choisi d’être en conflit avec quelque chose d’invisible. On peut, dès lors, commenter, argumenter, définir, élaborer, sur tout et son contraire. Qui sera ensuite, dans la population, capable de remettre en cause le discours dominant ? Même si celui-ci est plus près de la fable délirante que de vérités scientifiques !

La troisième imposture est d’avoir opté pour une approche technologique, génétique et chimique en niant toute capacité naturelle intrinsèque à l’organisme humain : l’immunité, et tous les moyens existants de la stimuler et de la renforcer. Ne plus faire confiance à son corps, ses capacités et son intelligence.

La quatrième se trouve dans le fait d’avoir choisi une voie de sortie de crise unique, balayant sans vergogne toute autre alternative thérapeutique, préventive et curative précoce. On a délibérément voulu restreindre les perspectives et moyens d’action, ce qui est un comble quand on est soi disant « en guerre ». Tout aurait dû être mobilisé contre ce soi-disant « ennemi ». De plus, cette voie technologique ciblée était hasardeuse car non encore étudiée à cette échelle et pour ce virus. Pari audacieux donc, sauf si cet organisme avait été produit par de l’ingénierie sanitaire (P4 de Wuhan ?) et donc qu’il était prévu une autre ingénierie sanitaire (vax ARNm) pour y répondre. Mais, en dehors de cette éventualité, prendre un pari que l’industrie pharmaceutique allait pouvoir répondre comme attendu et tel que formulé par ce jeune ex-banquier, ne peut pas, à mon sens, reposer que sur la seule foi en la technologie. Ainsi l’état a mis en place, sciemment, le refus de soin ; « restez chez vous avec un doliprane » avant la prise en charge tardive des conséquences létales de la maladie en réa. Créant artificiellement un engorgement encore plus grand à l’hôpital et permettant de faire grossir honteusement les chiffres des morts. Enfin, cette instrumentalisation de la situation a permis de réaliser les conditions favorables à l’émergence des « vax » faute de traitement autorisé !

La cinquième est d’avoir piétiné toutes les règles de « bonnes pratiques », de déontologie médicale, du principe de précaution, pour arriver à ses fins : « vax » la population :

  • faire interdire et discréditer toute autre alternative thérapeutique en prévention et traitement précoce, pour favoriser la production et la commercialisation de « vax » de laboratoires « influents et connus »,
  • s’asseoir sur les protocoles, délais, précautions dans la réalisation des études cliniques et dans l’obtention des « AMM ». Jamais cela n’avait été aussi tronqué et à si grande échelle !,
  • promouvoir un technologie expérimentale, auparavant réservée à des cas de maladies rares et ciblées n’ayant aucun traitement, et là, délibérément généralisée à toute la population de bien-portants,
  • faire participer des personnes, sans vraiment leur demander et les renseigner (consentement libre et éclairé), à des essais thérapeutiques mondiaux. Comportement contraire à la plupart des principes de déontologie (Code de Nuremberg, …). Ne pas assurer ensuite le suivi des injections chez les utilisateurs, comme dans un protocole d’essais clinique habituel,
  • devenir les commerciaux ou VRP des labos en tant qu’état, administrations et responsables de structures ou de d’organisations, tout en utilisant l’argent public pour soutenir et financer ces groupes privés,
  • soustraire tout décideur, tout acteur et tout fournisseur des doses, de toute responsabilité quand aux conséquences des produits chimiques injectés. Tout en prévoyant un fond de soutien aux victimes, financé par nos impôts,
  • faire procéder à des injection « vaccinales » en pleine pandémie, contrairement aux usages habituels.

La sixième tromperie est d’ordre plus pernicieuse et profonde. L’état, relayé par une grande partie du monde médical et scientifique (souvent en conflit d’intérêt), et par la plupart des médias (aux mains de grandes fortunes) a instrumentalisé une communication de crise digne d’une secte :

  • répétition quotidienne d’informations anxiogènes et morbides,
  • présentation de données et mesures contradictoires et complexes,
  • lavage de cerveau permanent multisupports,
  • infantilisation et culpabilisation des populations,
  • manipulation des chiffres et des données,
  • prises de mesures coercitives et répressives,
  • définition de plus en plus étroite et limitante du cadre de vie,
  • utilisation de leviers psycho-affectifs pour induire des comportements souhaités, … .

Il y a donc aujourd’hui sur cette planète des organisations élitistes qui ont une portée mondialiste. Elles sont aux mains de milliardaires et personnes influentes qui agissent dans l »ombre ». Elles allient une vision d’ingénierie technologique poussée, à la standardisation des pratiques et au contrôle des populations. Les gouvernants semblent obéir à cette mafia d’affaires. Qu’avons nous donc constaté lors de cette période ? La grande uniformisation des gestions de crise avec un durcissement des mesures prises contre les populations, leurs droits et libertés. Il fût un temps où les humains se regroupèrent, formant « société ». Car au sein de celle-ci, chacun pouvait y trouver plus et mieux que tout seul dans son coin. Hors, l’instrumentalisation de nos sociétés par des groupes d’intérêts privés a débouché sur l’inversion des paradigmes d’origine : c’est aujourd’hui le citoyen qui est devenu « au service » de ceux qui sont « aux affaires ». Ces derniers ne veulent pas de votre épanouissement, de vos droits et libertés. On vous nourrit, vous formate, et vous devez être productifs. Et quand vous perdez toute attractivité ou rentabilité, vous êtes alors considérés, par eux, comme coûtant trop cher à leur vision sociétale minimaliste. Un « poids mort » dont il faut « s’occuper », car ils nous jugent trop nombreux. Ce n’est pas le rivotril et la maltraitance dans les EHPAD, la non revalorisation des retraites, la surmédicalisation des aînés et les déserts médicaux, la diminution des services publics dont celui de la santé, qui rassurent sur leur intentions. Pour les autres, les plus jeunes, n’oubliez pas que le pli est déjà pris, celui des gestes barrières, de la distanciation sociale, du confinement, des commerces « non essentiels », du QR code, et puis, à venir, de l’identité avec traçage et l’euro numériques, du crédit social et leurs piquouzes transgéniques semestrielles, qui seront vos perspectives dans leur gestion de leur monde d’ « e-esclaves » !

Trop de personnes ont sciemment et/ou inconsciemment abandonné leur propre pouvoir de décision sur leur existence. Le laissant entre des mains pas toujours bien intentionnées ! Endormies dans la routine du « métro-boulot-dodo » et diverties par des loisirs de masse, si peu stimulant intellectuellement, elles se laissent porter par la « voix » ! Sans doute celle du berger qui rassemble son troupeau avant d’aller à l’abattoir !

Pourquoi ne pas arrêtez de gober tout et n’importe quoi ? De vous faire injecter leur « soupe » de produits chimiques expérimentale issue de labos pharmaceutiques qui ont déjà payés des amandes records en milliards d’euros pour des délits ? Arrêtez de suivre les injonctions des « menteurs » qu’ils soient politiques ou non. Le système mafieux ne vous récompensera jamais ! Il va vous rentabiliser mais toujours à votre détriment. La société, c’est chacun d’entre nous si nous voulons à nouveau faire nation résiliente, bienveillante et solidaire. Que ou qui devez vous alimenter ? Les profits du système mafieux ou le bien commun ? Voir la réalité « en face » vous fera certainement un choc et sera désagréable. Mais c’est toujours mieux que de rester endormis, à servir ces sangsues toujours plus avides de pouvoir et de profits !

Alors, demain vous attend : libres, volontaires et déterminés ? Ou esclaves au service des plus riches ?

Antoine Chevalier, citoyen quantique éveillé

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